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Vendredi (08/06/07)
qu'est ce qu'un système ?
En effet l'organisation, (selon  Raymond Boisdé, du CNAM, successeur de la chaire initiée par l'illustre Henri Fayol, le père de l'organisation administrative), reposait sur des principes insupportables aux compagnies de logistique et d'informatique. En voici quatre :
  1.  "il faut informatiser ce qui a été organisé et non organiser ce qui a été informatisé" ,
  2.  " L'organisateur est le médecin de l'entreprise, il doit lutter pour élever sa productivité, sa popularité et son prestige dussent-ils en souffrir "
  3. " Ce qui n'existe pas ne mange pas de pain",
  4.  "L'OST (l'organisation scientifique du travail) c'est l'obtention de la sympathie du travailleur.
J'ai émis l'hypothèse que plus un système est complexe, plus sa structure est rigoureuse, plus les éléments sont homogénéisés et de faible importance par rapport aut tout, plus les propriétés systémiques sont importantes. Par exemple un ordinateur obéit presque exclusivement à la TDS. La spécificité de ses composants est quasi nulle par rapport à la complexité des programmes et des logiciels. De même dans une bureaucratie, les règlements ont plus d'importance que le libre arbitre et le tempérament des agents. La bureaucratie est faite pour cela. En revanche, un gouvernement est largement tributaire du caractère et des convictions des ministres

extrait d'un article de décodage
L'obscur simplificateur du travail, le trublion qui se mêlait de toucher à l'organigramme et à bousculer les rentes de situation, ne pouvait rivaliser avec l'élégant président de la SSCI, entouré de brillants et sévères jeunes collaborateurs, aussi compétents et secs que leur patron est savonneux. Tout ce beau monde tournait inlassablement comme une armada d'oiseaux de proie autour des directeurs financiers, des contrôleurs de gestion, tissant des connivences (désinteressées, bien entendu! ) et adressant de magnifiques rapports épais comme des dictionnaires aux subalternes, des fiches écrites en grandes lettres colorées au grand patron.
extrait d'un texte de lussato
Ecrit par brigitte29, à 17:14 dans la rubrique Actualités.
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Vendredi (18/05/07)
les medias et la verite
extrait d'un article paru sur media rating


Contrairement à l’affirmation de Nietzsche prétendant qu’il y a seulement des interprétations, l’homme étant pour lui la mesure de toute chose, la seule mesure de toute chose, les faits sont bien réels, les faits existent bien, et ils peuvent être rapportés avec exactitude. Ils doivent par conséquent être rapportés avec exactitude. Et ils doivent être analysés et commentés avec une sincérité absolue. Ce qui donne tout son sens à la recommandation adressée au journaliste : « Les faits sont sacrés, le commentaire est libre ». A condition d’y voir une invitation à l’humilité, face à une réalité toujours équivoque et énigmatique. A condition surtout de rappeler que les faits valent seulement par la signification qui leur est donnée, et qu’ils ne peuvent jamais être séparés de leurs commentaires aussi aisément qu’on le voudrait. L’exigence, par conséquent, est double : non seulement les faits doivent être rapportés avec autant d’exactitude que possible, mais ils doivent également être analysés et interprétés avec une absolue sincérité. Sans la double passion de l’exactitude et de la sincérité, le journaliste perd la confiance de ceux auxquels il s’adresse : il perd, en même temps que sa crédibilité, sa légitimité ou, si l’on préfère, sa raison d’être.

L’autorité d’un Raymond Aron ou celle d’un Albert Camus s’enracinait dans ce souci permanent d’exactitude et de sincérité, ce qui les distinguait de leurs détracteurs, dans cette véracité ou cette recherche courageuse de la vérité qui fait pareillement l’honneur – ou la vocation - d’un professeur et celui d’un journaliste, cet honneur qui ne procède de rien d’autre que de l’honnêteté intellectuelle. L’historien et le journaliste savent qu’ils n’accèdent jamais qu’à des vérités partielles, imparfaites , approximatives et provisoires, mais ils veulent, comme ceux auxquels ils s’adressent, que ces vérités ne soient entachées d’aucun esprit partisan, d’aucun esprit de système, d’aucun esprit de certitude, qu’elles soient, en d’autres termes, aussi peu subjectives que possible. Et lorsqu’ils doutent eux-mêmes de leur objectivité, ils n’ont alors d’autre secours, l’un comme l’autre, -le journaliste au même titre que l’historien ou le professeur-, que d’avouer leur propre subjectivité, dans un ultime et indispensable élan d’honnêteté.

L’information n’a pas d’autre horizon que celui de la vérité. Elle n’a pas d’autre raison d’être que notre soif de vérité. Du fait que les vérités du journaliste, comme celles de l’historien, sont vues immanquablement à travers le prisme de leurs préoccupations ou de leurs inclinations, pourquoi conclure qu’il faut renoncer à l’idéal d’objectivité, à la courageuse et nécessaire recherche de la vérité ? Pourquoi, de la même façon, ne pas admettre que l’information, pour les médias, est un combat sans fin ? Un combat qui n’est jamais gagné contre ce que Jean-Claude Guillebaud appelle le « grand bavardage des médias », qui fait trop souvent son lit de nos paresses et de nos faiblesses. Un combat permanent contre les rumeurs ou les préjugés, qui expriment toujours nos peurs et nos ignorances. Un combat difficile mais nécessaire enfin contre l’esprit du temps, ces idées reçues ou cette pensée commune que les bien-pensants répètent sans jamais se lasser, et sans du reste jamais penser.

Le devoir de vérité a un corollaire : c’est le droit à l’erreur. Toute erreur, une fois établie, doit être avouée et corrigée. Le devoir de vérité a aussi ses limites. Il est des vérités assurément inutiles, et finalement pernicieuses : il serait irresponsable, pour les médias, de flatter ou de cultiver abusivement nos curiosités les plus médiocres.

Ecrit par brigitte29, à 10:11 dans la rubrique Actualités.
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Dimanche (25/03/07)
3 piliers,de la démocratie

citation :

Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes – que tous les hommes naissent égaux, que leur Créateur les a dotés de certains droits inaliénables, parmi lesquels la vie, la liberté et la recherche du bonheur ; que pour garantir ces droits, les hommes utilisent des gouvernements dont le juste pouvoir émane du consentement des gouvernés;  que si un gouvernement, quelle qu’en soit la forme, vient à méconnaître ces fins, le peuple a le droit de le modifier ou de l’abolir et d’instituer un nouveau gouvernement… » Voilà exposés les termes du contrat social, les trois piliers de toute société libre, et le principe déterminant d’une démocratie politique


Ecrit par brigitte29, à 14:15 dans la rubrique Actualités.
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Dimanche (18/03/07)
citation sur l'injustice sociale
citation de Michel Godet pleine d'humour et tellement vraie
" seules sont injustes les inégalités dont on ne bénéficie pas"
superbe non ?
Ecrit par brigitte29, à 00:32 dans la rubrique Actualités.
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Samedi (17/03/07)
citation islamisme
--> une perle pas nouvelle mais d'actualité quand meme

A l’époque fondatrice de la République laïque, la doctrine du parti clérical a été résumée par le député D’Alembert :

"Quand je suis le plus faible, je vous demande la liberté parce que c’est votre principe ; quand je suis le plus fort, je vous l’ôte parce que c’est le mien" Histoire de l’enseignement en France Coll U A PROST 1986 p 178)

Cette dialectique cynique s’applique à tous les totalitarismes, dont l’islamisme n’est qu’un avatar.

Ecrit par brigitte29, à 22:30 dans la rubrique Actualités.
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Jeudi (11/01/07)
citation bastiat
Que faut-il à une idée qui porte en elle-même l'élément du triomphe, la vérité?
Étre connue, être comprise, être vulgarisée; et, pour cela, il lui faut des expressions saisissantes, des formules lumineuses qui, par leur clarté soudaine, aillent réveiller dans tous les cœurs cette sympathie innée pour le vrai et le juste que la libéralité de la Providence y a déposée. Voilà pourquoi les hommes de labeur, de veille et d'étude  confient aux hommes de lettres le travail des années et des siècles, les investigations de la science, les rectifications de l'expérience, en un mot, tout le mouvement intellectuel de leur école, afin qu'ils  manifestassent au monde. Par cette heureuse combinaison de fortes pensées et de vives images, dont eux seul possédent le secret, par le privilége inouï, qui n'a été dévolu qu'à eux, de faire pénétrer la logique dans la poésie et la poésie dans la logique, ils peuvent faire briller la vérité dans le cabinet du savant, dans l'atelier de l'artiste, dans le salon et le boudoir, dans le palais et la chaumière; lui frayer une voie vers la chaire et vers la tribune.
Ecrit par brigitte29, à 17:36 dans la rubrique Actualités.
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citation sur mauvaise foi

Le discours de la persuasion s'adresse à ceux qui veulent être informés. Il serait vain de chercher à convaincre le menteur. Puisqu'il sait qu'il ment, comment pourrait-il reconnaître, avec la faute qu'il couvre, le fait qu'il la dissimule délibérément ?

Démasquer son mensonge n'abolira pas son refus

Ecrit par brigitte29, à 12:42 dans la rubrique Actualités.
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